I.D.E.A.LBlog de l'association IDEAL (Information, Défense de l'Environnement de l'Adour et du Littoral).
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Date de création : 27.12.2008
Dernière mise à jour :
03.01.2016
14 articles
Respect et protection de l'environnement sont notre vraie nature ! inventons le monde de demain, ensemble protégeons la terre !
Mercredi 18 novembre 2015, en début d'après midi, nous avons été averti par un riverain de cette pollution de l'Adour qui n'est pas la première du genre.
Nous avons suspecté un relarguage de le Station d'épuration de Tarnos et après avoir joint le service environnement de la ville de Tarnos, les employés du SYDEC qui gèrent la Station d'épuration de Tarnos nous ont confirmé que ce rejet d'eau polluée et de boues venaient bien de la station de Tarnos.
La police des eaux du département des Landes leur avait donné l'autorisation de rejeter dans l'Adour environ 10 000 M3 d'effluent pollué afin de procéder à un entretien de la la station d'épuration.
Communiqué de presse
Naufrage du LUNO
05/02/2014 sur la digue sud à Anglet
Il n’y a pas eu de victime à l’inverse du Romulus démantelé lui aussi par une terrible tempête le 12 décembre 1969 après avoir été projeté en bout de la Digue nord de l’embouchure de l’Adour à Tarnos.
Il y aurait, avec le Luno, selon le classique et désuet communiqué officiel très peu de pollution puisque ce cargo, vide à l’arrivée sur le port de Bayonne, n’aurait relargué que du « gasoil » de soute.
Mais les innombrables promeneurs, dont beaucoup d’enfants en ce mercredi, sont allés se remplir les poumons de ces émanations sans guère de précaution comme le stipule pourtant le Code du travail en matière de risque d’exposition aux vapeurs d’hydrocarbures pour protéger la santé des travailleurs.
En fait de « gasoil » de soute il s’agit de fioul lourd de type PRESTIGE qui sert à faire fonctionner le moteur du navire. Produit qui a démontré sa toxicité sur nos plages.
Il est rapporté dans les médias que les autorités ont engagé des analyses de l’eau sur le site du naufrage. Pour nous, ces analyses doivent être représentatives de celiquide moussant tout le long du littoral et en particulier dans ces eaux hyper polluées de l’Adour et des eaux de plage que montrent les images médiatiques et que quiconque peut apprécier à chaque tempête.
Ces mousses sont en partie, sans que le LUNO en soit responsable, le résultat d’un triste et pernicieux manque de traitement terrestre des pollutions et des polluants pourtant bien connus comme, par exemple, les détergents non biodégradables d’origine pétrochimique encore vendus dans le commerce du fait de la puissance commerciale des multinationales de la lessive.
L’occasion d’analyser ces eaux moussantes est, pour nous, une nécessité d’apprécier les substances chimiques et radioactives en n’en restant pas qu’aux seules analyses bactériologiques pour connaitre, objectivement et de façon transparente, ce que contiennent ces eaux de plage.
Merci donc au LUNO de permettre d’analyser les eaux moussantes de l’embouchure de l’Adour entre Tarnos et Anglet que personne ne peut objectivement ignorer mais pour laquelle le citoyen est en droit d’être informé.
Une médaille aussi aux sauveteurs qui ont risqué leurs vies pour sauver celles des autres.
Durant la tempête du week-end du 07/08 novembre, de grandes quantités de mousse se sont accumulées sur les plages de Biarritz et Anglet.
Rien d'anormal direz vous. Sauf que, de telles quantités ne s'étaient jamais vu de mémoire. La question est pourquoi ?
En principe l'écume (et non la mousse) arrive lorsque la mer est brassée violemment lors des tempêtes ; on considère que ce phénomène est le résultat de protéines libérées par les algues et le brassage de l'eau provoque cette émulsion que nous connaissons tous.
Ici, il n'est plus question d'écume mais bien de mousse et le phénomène n'est plus naturel du tout ! Pas par de telles quantités.
Et c'est devant de tels phénomènes qu'il faut se poser la question du devenir de nos détergeants et des tensio-actifs (lessives). En effet, ces produit ne sont pas dégradés par les stations d'épuration collectives et ils sont relachés tels quels dans le millieu naturel. D'où la mousse de ce week-end.
Phénomène que le journal SUD OUEST tente d'expliquer sans rien dire comme à son habitude.
La biodégradabilité des lessives est le combat engagé depuis de nombreuses années par des écologistes de terrain depuis plus de 30 ans sans succès jusqu'ici.
Pire même puisque les fabricants de lessive ont obtenu de l'Europe, par un lobying intense, une dégradabilité moindre de leurs produits.
Alors, rendez-vous lors de la prochaine couche et en attendant, ne vous inquiétez pas, ils s'occupent de tout et c'est d'alleurs pour cela qu'on en est là !
Ramuntxo Garbisu, journaliste à EITB
Le rapport demandé par Réseau Ferré de France (RFF), chargé du projet de nouvelles Lignes à Grande Vitesse (LGV), sur sa concertation avec les Aquitains sur le tronçon Bordeaux-Espagne, n'a guère soulevé les félicitations du cabinet d'études mandaté.
Dans ce document remis le 22 juin, ses auteurs soulignent la "stratégie guidée principalement par une logique de passage", qui déstabiliserait l'ensemble des élus qui adhèrent au projet, malgré le "soutien unanime de la presse depuis fin 2007".
Les "failles argumentaires" mises à jour par les opposants : Pour ce tronçon Bordeaux-Espagne, la légitimité apporté par le soutien de l'Etat n'apparait plus suffisante, le projet "justifié à partir des prévisions de trafics et de la nécessité de répondre à une urgence capacitaire" n'ayant pas résisté "à l'identification par ses opposants de failles argumentaires".
Salué comme "les seuls, à notre connaissance, à avoir remis en cause techniquement l'opportunité d'un projet ferré en débat public", le rapport admet que les défenseurs de la rénovation des lignes existantes, opposés à la création de nouvelles lignes, "ont acquis, à travers leurs victoires, l'assurance que cette défiance est justifiée".
L'argument de la saturation du fret est officiellement "ambigüe".Pierre de voûte du discours sur la nécéssité de nouvelles lignes, la date supposée de la saturation des lignes existantes diffère d'un pro-LGV à un autre : en 2020 comme rappelé au Conseil Régional lors de sa cession du 25 juin, ou, plus rapide encore, "dans 6 à 8 ans" pour Jean-Marie Berckmans, Président de la CCI de Bayonne (dans cette édition du 13 juin du Journal du Pays Basque).
Pourtant, et ce n'est un secret pour personne, un document officiel de RFF, disponible sur Internet, page 6, est très clair : cela sera "possible", mais pas avant 2040. "Selon les enjeux purement capacitaires et de report du transport de marchandises de la route vers le fer, la mixité devrait intervenir, au plus tard, lorsque la ligne actuelle ne permettra plus de proposer des sillons fret de qualité et risquera de freiner le développement du fret.
Sur la base des hypothèses d'offre de sillons prises lors du débat public, de la saturation possible de la ligne actuelle même dégagée des circulations de TGV®, cet horizon se situe après 2040"."
La crainte du "succès des opposants" : Relevant que, désormais, les décideurs politiques, en particulier ceux du Conseil Régional d'Aquitaine, apparaissent comme "trompeurs", il leur est demandé de se rappeler que, pour chacun des grands projets aquitains (comme le métro de Bordeaux ou un premier projet de lignes nouvelles en pays Basque en 1992), les conflits entre élus et citoyens (habitants, les petits élus, associations environnementales et riverains) se terminent généralement "par le succès des opposants".
Porteurs aujourd'hui d'une "justification technique apparaissant défaillante", il leur est demandé d'accentuer un "véritable dialogue démocratique", pour éviter le risque d'être accusés de passer en force avec une "logique étatiste, déconnectée des territoires, où la concertation revêt avant tout un caractère formel".
Et pour bien mettre les choses au point, les anti-LGV sont décrits comme ayant "capitalisé la force des victoires, terreau de leur assurance et de leur patience", capables d'une "stratégie de guérilla", à même de voir "hypothéquée" la réalisation des nouvelles lignes en Pays Basque.
RFF prié de s'inspirer de la "transparence" de ses opposants : Le rapport conclut sur la nécessité de trouver le moyen d'associer ses opposants au projet, mais surtout de calquer leurs démarches : "Les règles du débat avancées par ces acteurs rencontrés sont univoques et reposent sur trois piliers : la diversité, l'écoute et la transparence. Adopter ces règles représente pour RFF un affichage clair de sa volonté de concerter et un changement dans ses pratiques".
Voici 14 ans, IDEAL et le CADE avaient soulevé le problème de la radioactivité sur le site fertiladour à Boucau;
C'était le résultat d'une activité industrielle non maitrisée conssistant à broyer du minerai de monazite, riche en thorium 232, élément radioactif à très longue durée de vie et ceci sans souci de la protection des travailleurs ni des populations riveraines.
Les poussières issues de ce broyage ont été disséminées dans tout le quartier et au delà, les salariés ont travaillé pendant des années dans ces conditions sans protection et sans information quant à la dangerosité du produit.
Résultat : compteur geiger saturé,contamination des sols, de la nappe phréatique et sans doute de l'Adour. Tout ceci fut confirmé par la CRIIRAD et l'ANDRA.
En Avril 2009, après une pseudo décontamination du site, la municipalité de Boucau envisage l'aménagement de la zone en centre commercial, zone artisanale etc... IDEAL et le CADE se rendent sur le site et vérifient tout celà.
Il s'avère que la décontamination n'est pas satisfaisante ; de nombreux points chauds subsistent.
Comment la muncipalité de Boucau a-t-elle pu affimer qu'il n'y avait plus de problème alors que tout le monde savait que rien n'avait été réglé ?
Cela n'a pas empéché certains élus de la commune de tenir des propos à la limite de la diffamation à l'encontre d'un journaliste indépendant qui a fait sont travail en dénonçant cette pollution. La norme acceptable est de O.8 micro sieverts/h et l'on relève plus de 2.5 micro sieverts/h.
Hors de question d'envisager un quelconque aménagement actuellement.
Pour information le thorium 232 a une demi vie de 14 milliards d'années ; c'est à dire qu'il réduit sa radioactivité de moitié tous les 14 millards d'années.
D'autre part, l'industriel n'a pas respecté la traçabilité quant à l'évacuation des terres les plus radioactives qui avaient été stockées dans des big bags. Où ont-elles été stokées ?
Ceci est représentatif des dérives extrêmement dangereuses pour la santé publique et pour la santé des travailleurs dans les divers domaines du nucléaire, d'autant plus représentatif et inquiétant puisque dans ce cas, il faut que ce soit les associations qui découvrent, dénoncent et veillent au grain avec tout au long de ces années une inertie totale des services de l'état tous confondus !
Y a t-il encore quelques retraités de fertiladour vivants...? (cliquez sur le lien)
http://www.eitb.com/infos/environnement-et-science/detail/130461/a-fertiladour-les-damnes-terre-se-souviennent/
Vite, vite, vite, telle est la philosophie de notre époque moderne.
Mais à quel prix ? Posons-nous la question. Pourquoi de nouvelles voies TGV dans notre région ? Qu’est-ce qui justifie des milliards d’euros d’investissement pour un gain de temps de quelques minutes seulement entre Bordeaux et la frontière espagnole ?
Que dire des saccages environnementaux que va provoquer un tel tracé ? 9 hectares au kilomètre de destruction ! Une tranchée épouvantable qui va lacérer tout le sud de la région et qui cela inquiète-t-il ?
Personne à part les associations de protection de l’environnement. Le CADE (Collectif des Associations de Défense de l’environnement dont IDEAL est membre fondateur) a fait la démonstration que les chiffres « fret et voyageurs» dont se sert RFF pour justifier ces nouvelles voies sont surestimés (pour employer un terme diplomatique).
L’école polytechnique de Lausanne, appelée par le CADE et les Verts d’Aquitaine pour une contre expertise, a confirmé les assertions du CADE.
A partir de là, le pataquès a commencé ; Pour faire simple et en résumé les élus du Pays Basque sont très divisés quant à l’utilité et le prix de ces nouvelles voies. Les communautés des communes « Nive Adour », « Sud Pays Basque », et « Errobi » ont voté contre la LGV ce qui représente 29 communes, rien que ça ! Même madame Aliot Marie ministre de l’intérieur s’est prononcée pour l’utilisation des voies existantes, c’est dire.
Par contre la communauté d’agglomération de Bayonne Anglet Biarritz, fer de lance des pro-LGV a voté majoritairement pour.
Pour ce qui est des Landes, pas de contestation semble-t-il. Tout le monde est aux ordres, la main sur la couture du pantalon. Pas de bruit dans les rangs.
Pourtant, lorsqu’on y regarde d’un peu plus près, le tracé sud Landes, qui nous intéresse le plus, passe dans des zones naturelles qui normalement sont protégées à divers titres ou en lisières de ces zones (marais d’Orx, lac d’Yrieux..).
Sur Tarnos, ce sont les talwegs et les zones humides du Seignanx qui sont menacés. Mais la préoccupation des élus est plus de savoir si on peut implanter une gare dans le Seignanx que de se préoccuper de la protection des zones sensibles.
Nous nous sommes laissé dire que certains lecteurs avaient trouvé que nous faisions la part belle à l'industriel concernant l'implantation d'un laminoir sur le port de Bayonne.
C'est faux bien sur ! Notre intention était de pointer du doigt les manques de la zone industrielle laissée en déshérence par des administrations d'état (DRIRE, DIREN...) et d'autres acteurs locaux comme la Chambre de Commerce de Bayonne.
L'industriel n'est pas responsable de la situation qu'il trouve. Quant au projet lui-même, il a fait l'objet d'un certain nombre de réserves qui ont paru dans le dossier d'enqête publique.
Nous n'avons pas donné un blanc sein à qui que ce soit. Ce n'est pas dans nos habitudes. Merci de votre attention.
En ce jeudi 15 Janvier 2009, Monsieur BOTTENE, directeur du futur laminoir de la société Beltrame, dont l'enquête publique est actuellement en cours, présentait son projet devant le groupe « risques » du S3PI qui se tenait dans les locaux du CPIE à St Martin de Seignanx.
Les associations présentes ressentirent, pour certaines, une impression de déjà vu qui remontait à l'automne 2002 lors de l'enquête publique concernant la création de l'usine « Dérivados Forestales ».
Projet qui s’est terminé par un fiasco complet du fait, faut-il le répéter, d'un dossier mal monté et d'un certain amateurisme affiché par les différents acteurs locaux promoteurs du projet, qui réussirent à décourager le Directeur de Dérivados Forestales et le poussèrent à émigrer vers des territoires et des pratiques plus accueillantes.
Les mêmes causes provoquant les mêmes effets, nous redoutons cette fois encore que pour le laminoir Beltrame, à Tarnos, les affaires soient encore mal engagées.
En effet, la zone industrialo portuaire ne présente pas les garanties requises qu’est en droit d’attendre l'Industriel.
Le groupe BELTRAME se trouve devant 4 problèmes importants qui ne dépendent pas de lui : Une alimentation en électricité de l'usine encore non assurée, L'aciérie de l'Atlantique refusant le branchement en dérivation sur sa propre alimentation de 220000 Volts, qui rappelons le, avait été payée sur les deniers publics en son temps !
La solution retenue par EDF serait le passage d'une nouvelle ligne enterrée sous l'avenue de l'Adour à Anglet (dont les travaux d’aménagement viennent d'être terminés) pour ensuite traverser l'Adour en direction de l'autre rive par une ligne ensouillée... Quant on peut faire compliqué, pourquoi se gêner et puis c'est pas cher ! Nos encouragements à la ville d'Anglet.
Deuxième problème non réglé, l'alimentation du laminoir en eau industrielle conforme à la demande de l'industriel et compatible avec le process de laminage (salinité).
Le problème n'a pas été réglé depuis « Dérivados »... Cerise sur le gâteau le prix de l'eau industrielle demandé à Beltrame par le SYDEC des Landes est plus cher que l’eau potable à Anglet. Pas de cadeau ! Cherchez l’erreur ! un éventuel usage et ce en cas de fortes pluies, du réseau d’effluents de cette zone qui se jette à l’Adour, sans aucun traitement conforme à la loi sur l’eau. De plus, le SYDEC ne gère plus ce réseau. Qui est gestionnaire ?? La Police de l’Eau, DDE 64 a dressé un PV pour cause de pollution sur ce secteur.
Bravo le Département des Landes et la Mairie de Tarnos. Les industries ne sont pas raccordées a un réseau d’assainissement d’eaux usées….en 2009 ! un sous sol et une nappe phréatique pollués (par les anciennes activités de Socadour) et géré par le Conseil Général des Landes. Y a-t-il un plan de dépollution prévue ? Pas de réponse des représentants de l’Etat, absents lors de cette réunion pourtant prévue en présence du Préfet des Landes et de la DRIRE, le 5 décembre dernier lors de la réunion plénière du S3PI.
Oui nous sommes bien en 2009, oui, il existe bien un plan climat et le laminoir BELTRAME rejettera bien 30000 tonnes de CO2 dans l'atmosphère bon an mal an. Nos technocrates penseurs n'ont rien prévu pour apporter une solution à ce problème et aider ainsi le groupe BELTRAME. Il ne faudra pas se tromper de cible, si par hasard le projet Beltrame venait à échouer, la responsabilité ne sera pas celle des associations de protection de l’environnement. Elles n'ont, quant à elles, qu'à se louer des excellentes relations entretenues avec Mr Bottene, le directeur. Il ressort de tout cela que, pour Beltrame, tout retard de démarrage dû à des problèmes extérieurs à l’entreprise coûteraient de l’argent et qu’à un moment donné ce coût pourrait être dissuasif pour la concrétisation du projet. Nous y sommes et voilà le danger. Voilà comment on accueille les industriels dans notre pays de cocagne. L’amateurisme, le déficit de compétence et de prévision des gestionnaires, risque de faire fuir cet industriel italien. Que chacun en ce qui le concerne prenne ses responsabilités dans ce cas de figure. IDEAL ne peut que tirer la sonnette d’alarme.